Aigle huppard Lophaetus occipitalis a biography of sitting bull aigle amérindien aprendre au lieu de juger beaute de l hiver citation amerindienne coeur crazy horse description documentation donner le meilleur de soi
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bonjour
j'ai pris bonne note de votre remarque et oui effectivement c'est une erreur je vais donc retirer ce
Par jenicrea, le 06.01.2025
peut-être le plus beau des textes sur le rapport des hommes à leur culture et lanaturr
Par Anonyme, le 15.09.2023
merci ma belle, mais on ne peut pas prendre... tu as bloqué l'accès au clic droit.
Par Réjeanne, le 07.05.2022
mercima belle
Par Anonyme, le 09.02.2022
bonjour et merci pour ce très bel aigle qui va me permettre de réaliser une création. joêlle
Par Joëlle Rivière, le 23.11.2018
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Date de création : 29.08.2014
Dernière mise à jour :
23.01.2015
448 articles
L'Hiver est a notre porte.
Bientot le froid et le gele.
Je vous aime
Coeur de Louve
Bisous @ Pluche
Auteur : Janlou Chaput, Futura-Sciences
Description
Situé sur l’île du Sud de l’archipel néo-zélandais, le lac Mapourika constitue la plus grande étendue d’eau stagnante de la région. Il prend parfois des allures féeriques au lever du soleil, lorsque l’eau s’évapore pour former une brume matinale.
© Richard Palmer, Wikipédia, cc by sa 3.0
Coeur de Louve
Des chercheurs tournent un documentaire quand, tout à coup, ils sont témoins d’un événement exceptionnel : l’accouchement d’une femelle otarie. Assistez vous aussi en vidéo à cet événement rare et inattendu.
Le 14/09/2014 à 15:25 - Par Jonathan SARE, Futura-Sciences
C’est lors du tournage d’un documentaire au Galápagos que cette otarie a mis bas. Elle n’a pas été troublée par la présence de spectateurs en faisant naître son petit sur le sable. Cette mise au monde est le fruit d’une grossesse qui a duré 11 mois environ : 9 mois de gestation auxquels s'ajoutent entre 2 et 2,5 mois demi, dus à l’implantation retardée de l’embryon. Ce mécanisme, présent chez toutes les otaries et également chez l’ours, permet à la femelle d’avoir des petits lorsque la nourriture est la plus abondante.
L'otarie met bas exclusivement sur la plage. © National Geographic
L’otarie des Galápagos est la plus petite des otariidés, les mâles mesurent en moyenne 1 m 50 pour 64 kg, et les femelles 1 m 20 pour 28 kg. Elle passe énormément de temps hors de l’eau, plus de 70 % du temps contre 50 % pour les autres types d’otaries. Elle se nourrit principalement de poissons et de céphalopodes en chassant la nuit. Elle ne s’éloigne que rarement de la berge bien que certaines otaries peuvent plonger jusqu'à 300 m de profondeur. Elles mettent bas, comme dans cette vidéo, entre mai et janvier en général.
Parmi les otariidés, l'otarie de Californie, l'otarie à crinière et l'otarie à fourrure du Cap sont les plus communes.
Les otaries des Galápagos vivent en colonies sur les coulées de lave solidifiées. © Tomosuke214, Fickr, cc by-cc-nc-ca 2.0
Quelques traces de plumes ont conduit une équipe de scientifiques de l'Université de Purdue (Indiana, Etats-Unis) à confirmer que les aigles d'Asie centrale étaient probablement les oiseaux les plus "fidèles".
Le 31/07/2005 à 12:15 - Par CIRS
![]()
Aigle impérial
L'analyse de l'ADN des plumes sur les sites de nidification a permis aux chercheurs d'identifier individuellement des aigles impériaux dans une réserve naturelle du Kazakhstan. L'analyse indique qu'aucun ne s'était écarté de l'autre membre du couple, ce qui indique un degré de "fidélité" inhabituel parmi les oiseaux, dont la grande majorité s'accouple et a une progéniture avec de multiples partenaires. Outre la confirmation de la monogamie parmi les aigles, ces recherches sont les premières à se baser sur des plumes collectées de manière non invasive, sans nécessité d'utiliser des pièges ou de manier l'animal. Le fait d'avoir pu utiliser des plumes collectées de cette manière, comme source d'ADN est ce qui intéresse en premier lieu les scientifiques, déclare Andrew DeWoody, membre de l'équipe.
Les chercheurs ont utilisé une technique appelée "identification génétique", afin de pouvoir suivre génétiquement les individus de la population sans les capturer. La collection de plumes sur le site de nidification a aidé les chercheurs à déterminer les paramètres de la population, ce qui n'aurait pu se faire autrement. Ces paramètres, dont le taux de survie annuel, aident les biologistes de la conservation à contrôler les populations d'espèces rares ou en danger. Les échantillons obtenus selon des méthodes non invasives permettent aux biologistes de cerner les changements au sein des populations à travers le temps sans les risques associés au maniement d'animaux vivants, de surcroît en danger.
Les observations portant sur les aigles impériaux suggèrent que ces oiseaux, comme la plupart des grands oiseaux de proies, sont au moins socialement monogames. Ceci signifie que les membres d'un couple demeurent ensemble lors de la saison d'accouplement et partagent les responsabilités s'agissant de leur progéniture, précise DeWoody. A la différence de leurs plus petits cousins, les oiseaux chanteurs, l'on pense que la plupart des rapaces sont véritablement monogames. L'étude procure la première confirmation génétique de la monogamie chez une espèce au moins, ajoute-t-il. Ce genre de recherches sera probablement étendu à d'autres espèces d'intérêt telles que les pygargues à tête blanche.
L'aigle impérial, oiseau le plus fidèle ?Quelques traces de plumes ont conduit une équipe de scientifiques de l'Université de Purdue (Indiana, Etats-Unis) à confirmer que les aigles d'Asie centrale étaient probablement les oiseaux les plus "fidèles".
Le 31/07/2005 à 12:15 - Par CIRS
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Aigle impérial
L'analyse de l'ADN des plumes sur les sites de nidification a permis aux chercheurs d'identifier individuellement des aigles impériaux dans une réserve naturelle du Kazakhstan. L'analyse indique qu'aucun ne s'était écarté de l'autre membre du couple, ce qui indique un degré de "fidélité" inhabituel parmi les oiseaux, dont la grande majorité s'accouple et a une progéniture avec de multiples partenaires. Outre la confirmation de la monogamie parmi les aigles, ces recherches sont les premières à se baser sur des plumes collectées de manière non invasive, sans nécessité d'utiliser des pièges ou de manier l'animal. Le fait d'avoir pu utiliser des plumes collectées de cette manière, comme source d'ADN est ce qui intéresse en premier lieu les scientifiques, déclare Andrew DeWoody, membre de l'équipe.
Les chercheurs ont utilisé une technique appelée "identification génétique", afin de pouvoir suivre génétiquement les individus de la population sans les capturer. La collection de plumes sur le site de nidification a aidé les chercheurs à déterminer les paramètres de la population, ce qui n'aurait pu se faire autrement. Ces paramètres, dont le taux de survie annuel, aident les biologistes de la conservation à contrôler les populations d'espèces rares ou en danger. Les échantillons obtenus selon des méthodes non invasives permettent aux biologistes de cerner les changements au sein des populations à travers le temps sans les risques associés au maniement d'animaux vivants, de surcroît en danger.
Les observations portant sur les aigles impériaux suggèrent que ces oiseaux, comme la plupart des grands oiseaux de proies, sont au moins socialement monogames. Ceci signifie que les membres d'un couple demeurent ensemble lors de la saison d'accouplement et partagent les responsabilités s'agissant de leur progéniture, précise DeWoody. A la différence de leurs plus petits cousins, les oiseaux chanteurs, l'on pense que la plupart des rapaces sont véritablement monogames. L'étude procure la première confirmation génétique de la monogamie chez une espèce au moins, ajoute-t-il. Ce genre de recherches sera probablement étendu à d'autres espèces d'intérêt telles que les pygargues à tête blanche.